dumpk2

dumpk2 — Ecrit périodiquement les valeurs de deux signaux de contrôle de l'orchestre dans un fichier externe.

Description

Ecrit périodiquement les valeurs de deux signaux de contrôle de l'orchestre dans un fichier externe, dans un format spécifique.

Syntaxe

dumpk2 ksig1, ksig2, ifilname, iformat, iprd

Initialisation

ifilname -- chaîne de caractères (entre guillemets, espaces autorisés) contenant le nom du fichier externe. Peut être un nom de chemin complet avec un répertoire cible ou un simple nom de fichier à créer dans le répertoire courant.

iformat -- spécifie le format des données de sortie :

  • 1 = caractères signés sur 8 bit (les 8 bit d'ordre supérieur d'un entier sur 16 bit

  • 4 = entiers courts sur 16 bit

  • 5 = entiers longs sur 32 bit

  • 6 = flottants sur 32 bit

  • 7 = entiers longs en ASCII

  • 8 = flottants en ASCII (2 positions décimales)

Noter que les sorties A-law et U-law ne sont pas disponibles, et que tous les formats sauf les deux derniers sont binaires. Le fichier de sortie ne contient pas d'information d'en-tête.

iprd -- la période de la sortie ksig en secondes, arrondie à la période de contrôle de l'orchestre la plus proche. Une valeur de 0 implique une période de contrôle (le minimum imposé), qui créera un fichier de sortie échantillonné au taux de contrôle de l'orchestre.

Exécution

ksig1, ksig2 -- signaux au taux de contrôle.

Cet opcode permet de sauvegarder les valeurs de deux signaux générés au taux de contrôle dans un fichier externe. Le fichier ne contient pas d'information auto-descriptive en en-tête. Mais il contient une suite temporelle échantillonnée régulièrement, appropriée pour une entrée ultérieure ou une analyse. Il peut y avoir n'importe quel nombre d'opcodes dumpk2 dans un instrument ou dans un orchestre mais chacun doit écrire dans un fichier différent.

Exemples

Voir l'exemple de dumpk. La seule différence entre dumpk et dumpk2 est que dumpk2 peut écrire deux valeurs à la fois dans le fichier.

Voir Aussi

dumpk, dumpk3, dumpk4, readk, readk2, readk3, readk4

Crédits

Par : John ffitch et Barry Vercoe

1999 ou avant